Une nouvelle très agréable soirée au Tamanoir avec le concert de Sly Johnson.
Une première partie agréable, Meeting Quotation, un groupe de pop acoustique qui louche vers des ambiances trip-hop. La technique de chant de la chanteuse, qui chante toutes les chansons en anglais rappel les chants irlandais. La chanteuse et le guitariste usent (parfois maladroitement, quelques vilains larsens nous ont vrillé les oreilles) de boucles qu’ils créent eux même.
Sly Johnson est un ancien du Saïan Supa Crew, branche Simple Spirit. Plus récemment il à collaboré avec Erik Truffaz, le trompettiste de jazz suisse qui n’en finis pas d’être intéressant. Ils ont réalisé un album entièrement à base de trompette et de beatboxing, Paris.
Accompagné d’un batteur, un guitariste, un clavier à l'orgue Hammond, une basse et d’une magnifique choriste à la voix de sirène (en vérité, je ne sais plus quelle voix elle avait, mais elle était très très belle), Sly Johnson chante une soul en anglais avec un accent parfait. Je pense à Otis Redding, notamment parce qu’il reprend Fa, Fa, Fa. Show man, Sly fait reprendre en chœur le public clairsemé du Tamanoir. Ça fait Fa-fa-fafafafaaa Fa.
D’une manière générale, il a un très bon contact avec le public, il est de plus en plus chaleureux au fil du concert et nous avoue même être un peut déçut qu’il n’y ait pas plus de monde. « On m’a mythonné. Cet après midi on m’a dit que c’était complet. » Et la salle est loin d’être pleine. Mais la chaleur du public semble compenser et le groupe est détendu. Ça blague beaucoup sur scène. Tout le monde à le sourire, sur scène comme dans la salle.
Moment de bravoure, Sly nous présente La Machine… Quelqu’un d’extrêmement impoli et dont les initiales sont J.J.L.F hurle « A poil la machine »… « Elle ne veut pas ! » répond Sly au perturbateur. La Machine c’est un sampler relié à des pédales d’effets qui permettent de créer des boucles. Sly Johnson improvise, part même plus loin que ce qu’il avait prévus dans ses impros. Il s’arrête, s’excuse, demande les prénoms de quelques spectateurs et repart sur une impro en se servant des prénoms récoltés. Il est très charismatique seul sur scène avec sa machine entouré de la musique complexe qu’il vient de créer devant nous.
Une première partie agréable, Meeting Quotation, un groupe de pop acoustique qui louche vers des ambiances trip-hop. La technique de chant de la chanteuse, qui chante toutes les chansons en anglais rappel les chants irlandais. La chanteuse et le guitariste usent (parfois maladroitement, quelques vilains larsens nous ont vrillé les oreilles) de boucles qu’ils créent eux même.
Sly Johnson est un ancien du Saïan Supa Crew, branche Simple Spirit. Plus récemment il à collaboré avec Erik Truffaz, le trompettiste de jazz suisse qui n’en finis pas d’être intéressant. Ils ont réalisé un album entièrement à base de trompette et de beatboxing, Paris.
Accompagné d’un batteur, un guitariste, un clavier à l'orgue Hammond, une basse et d’une magnifique choriste à la voix de sirène (en vérité, je ne sais plus quelle voix elle avait, mais elle était très très belle), Sly Johnson chante une soul en anglais avec un accent parfait. Je pense à Otis Redding, notamment parce qu’il reprend Fa, Fa, Fa. Show man, Sly fait reprendre en chœur le public clairsemé du Tamanoir. Ça fait Fa-fa-fafafafaaa Fa.
D’une manière générale, il a un très bon contact avec le public, il est de plus en plus chaleureux au fil du concert et nous avoue même être un peut déçut qu’il n’y ait pas plus de monde. « On m’a mythonné. Cet après midi on m’a dit que c’était complet. » Et la salle est loin d’être pleine. Mais la chaleur du public semble compenser et le groupe est détendu. Ça blague beaucoup sur scène. Tout le monde à le sourire, sur scène comme dans la salle.
Moment de bravoure, Sly nous présente La Machine… Quelqu’un d’extrêmement impoli et dont les initiales sont J.J.L.F hurle « A poil la machine »… « Elle ne veut pas ! » répond Sly au perturbateur. La Machine c’est un sampler relié à des pédales d’effets qui permettent de créer des boucles. Sly Johnson improvise, part même plus loin que ce qu’il avait prévus dans ses impros. Il s’arrête, s’excuse, demande les prénoms de quelques spectateurs et repart sur une impro en se servant des prénoms récoltés. Il est très charismatique seul sur scène avec sa machine entouré de la musique complexe qu’il vient de créer devant nous.