Un putain de mal de crâne qui gâche un bon concert et ne m'en laisse presque pas de souvenirs.
Tout étais réunis pour une super soirée. Un bon artiste qui viens de sortir un bon CD, une salle que je découvre à quelques minutes en voiture de chez moi et un pote qui remonte de province. Alors quoi, merde! Pourquoi je n'en ai presque pas de souvenirs?
La faute à un putain de mal de crâne. La douleur sourde dont tu ne te rend même pas vraiment compte. Mais si pendant la première partie le chanteur vanne gentiment un public trop calme, j'me vexe et m'imagine en train de lui péter sa gueule de puceau histoire de lui corriger son défaut d'élocution. A partir de là, difficile d'entrer dans l'univers chanson-réaliste désillusionné de Barcella. Ma faute, encore une fois, je m’aperçois bien que je réagis trop fort, que je suis le seul de la salle à serrer les poings et les machoires.
Et si le light-show utilise des stroboscopes trop forts, je me met à pleurer des yeux à n'en plus pouvoir regarder la scène et mon cerveau tente de s'échaper par les tâches noires qui défilent devant mes yeux. Alors R-Wan à beau chanter comme le nouveau Gainsbourg, il à beau se jeter corps et bien sur le public, chanter des chansons inédites et un peut ratés à propos d'extra-terrestres ou reprendre le Metro de son groupe Java, il à beau chanter À Pic à fond la caisse et sans planter, reprendre du Renaud avec talent, je ne kiff pas ma race comme il se devrais.
Tout étais réunis pour une super soirée. Un bon artiste qui viens de sortir un bon CD, une salle que je découvre à quelques minutes en voiture de chez moi et un pote qui remonte de province. Alors quoi, merde! Pourquoi je n'en ai presque pas de souvenirs?
La faute à un putain de mal de crâne. La douleur sourde dont tu ne te rend même pas vraiment compte. Mais si pendant la première partie le chanteur vanne gentiment un public trop calme, j'me vexe et m'imagine en train de lui péter sa gueule de puceau histoire de lui corriger son défaut d'élocution. A partir de là, difficile d'entrer dans l'univers chanson-réaliste désillusionné de Barcella. Ma faute, encore une fois, je m’aperçois bien que je réagis trop fort, que je suis le seul de la salle à serrer les poings et les machoires.
Et si le light-show utilise des stroboscopes trop forts, je me met à pleurer des yeux à n'en plus pouvoir regarder la scène et mon cerveau tente de s'échaper par les tâches noires qui défilent devant mes yeux. Alors R-Wan à beau chanter comme le nouveau Gainsbourg, il à beau se jeter corps et bien sur le public, chanter des chansons inédites et un peut ratés à propos d'extra-terrestres ou reprendre le Metro de son groupe Java, il à beau chanter À Pic à fond la caisse et sans planter, reprendre du Renaud avec talent, je ne kiff pas ma race comme il se devrais.