Alex Balduzzi
Le chanteur est un beau gosse de compétition, a mi-chemin entre Mick Jagger et Mick Brant.
Radiosofa
On entend les sangles des guitares crisser sur les blousons de cuirs, les musiciens sont tendus.
Alex Balduzzi
Inconnu de mon paysage musical, je suis ravi de découvrir Alex Balduzzi (aka le Balduzze) qui assure la première partie ce soir. Le groupe semble soudé, même s’il tourne sous le nom de leur chanteur. Il envoie avec son groupe une chanson-rock énervée. Je pense très fort à Téléphone par exemple. Il arrive à rocker en français, ce n’est pas si fréquent que ça, et en plus ça prend bien.
Le chanteur est un beau gosse de compétition, a mi-chemin entre Mick Jagger et Mick Brant. J’imagine un parterre de femmes se dépoitraillant devant la scène pour lui… Malheureusement le public est plus que clairsemé et personne n’ose lui montrer ses seins.
Je ne deviens pas vulgaire de bonne grâce, c’est l’univers des chansons de Balduz’ qui m’y pousse. Il y parle de stupre de sexe et de débauche. Libido par exemple. Il l’introduit « C’est l’histoire d’un mec qui rentre chez lui, il trouve sa femme qui couche avec un autre. Alors il va au bar et là il rencontre des femmes.»
Je prends vraiment beaucoup de plaisir à écouter les ballades rock viriles qui respirent les excès de nicotine et d’alcool de Balduzzy (Lizon, en écoute sur son site est une tuerie).
Pendant que Radiosofa joue, je me fais dédicacer l’EP que je viens d’acheter par le Balduzze Un bon souvenir pour une belle découverte.
DERNIERE MINUTE : en rédigeant ce live report, j’apprends via wikipédia (quelle balance !) que le mec à participer à la Starac’ 2002… Voila qui explique les poses lascives et les regards langoureux au public sur des éclairages pastel.
Radiosofa
La scène est plongée dans une lumière rouge sang, le groupe entre depuis les loges situées derrière le public… Silence dans la salle. On entend les sangles des guitares crisser sur les blousons de cuirs, les musiciens sont tendus. La tension aurais pu persister un moment si, acte manqué, le chanteur n’avais oublié ses matraquasses dans les loges. Et comme il en a besoins dés le deuxième morceau, on plaisante et on rie de la situation en attendant qu’il fasse l’aller-retour aux loges.
Les rouennais jouent un rock plus mélodique et romantique que ce qu’on avait entendu en première partie. C'est très dur pour eux, qu'aussi peu de public se soit déplacé. Ils s'excusent plusieurs fois auprès de nous, mais aussi de la première partie de ne pas avoir sus drainer plus de monde a ce concert. Pour se faire pardonner, ils mettent les bouchées doubles.
Le chanteur à un coup de hanche assez prononcé quand il prend des poses dans son blouson de cuir noir, un des guitariste fait le méchant avec son débardeur et ses tatouages, l'autre guitariste est grand, blond, fort... peut être un peut rude et il ne parle pas la langue, mais il y a des langages universels qui même entre hommes... (ehrr, je m'égare là!). Le groupe est un fantasme féminin vivant. On retrouve tous les personnages d'un manga yaoi.
Leur rock dépressif chanté en français ne révolutionne pas le genre, même s'il faut lui reconnaitre une certaine originalité au milieu des autres groupes placés sur le même créneau. Ils font sonner le français comme de l'anglais, sur certains titres, je ne comprends que c'est de français qu'au bout de plusieurs minutes. Quelques titres sortent vraiment du lot et sonnent comme de gros tubes. Hiroshima par exemple, que le chanteur introduit en parlant de faire un peut de tourisme. Ou 10 000 Brasses, le titre qui passe a la radio, très efficace aussi.
Parfois venu en famille, le public est attentif et chaleureux. Même si on n'est pas beaucoup, mais ça c'est une constante dans les concerts au Tamanoir.
Le chanteur est un beau gosse de compétition, a mi-chemin entre Mick Jagger et Mick Brant.
Radiosofa
On entend les sangles des guitares crisser sur les blousons de cuirs, les musiciens sont tendus.
Alex Balduzzi
Inconnu de mon paysage musical, je suis ravi de découvrir Alex Balduzzi (aka le Balduzze) qui assure la première partie ce soir. Le groupe semble soudé, même s’il tourne sous le nom de leur chanteur. Il envoie avec son groupe une chanson-rock énervée. Je pense très fort à Téléphone par exemple. Il arrive à rocker en français, ce n’est pas si fréquent que ça, et en plus ça prend bien. 
Le chanteur est un beau gosse de compétition, a mi-chemin entre Mick Jagger et Mick Brant. J’imagine un parterre de femmes se dépoitraillant devant la scène pour lui… Malheureusement le public est plus que clairsemé et personne n’ose lui montrer ses seins.Je ne deviens pas vulgaire de bonne grâce, c’est l’univers des chansons de Balduz’ qui m’y pousse. Il y parle de stupre de sexe et de débauche. Libido par exemple. Il l’introduit « C’est l’histoire d’un mec qui rentre chez lui, il trouve sa femme qui couche avec un autre. Alors il va au bar et là il rencontre des femmes.»
Je prends vraiment beaucoup de plaisir à écouter les ballades rock viriles qui respirent les excès de nicotine et d’alcool de Balduzzy (Lizon, en écoute sur son site est une tuerie).
Pendant que Radiosofa joue, je me fais dédicacer l’EP que je viens d’acheter par le Balduzze Un bon souvenir pour une belle découverte.DERNIERE MINUTE : en rédigeant ce live report, j’apprends via wikipédia (quelle balance !) que le mec à participer à la Starac’ 2002… Voila qui explique les poses lascives et les regards langoureux au public sur des éclairages pastel.
Radiosofa
Le chanteur à un coup de hanche assez prononcé quand il prend des poses dans son blouson de cuir noir, un des guitariste fait le méchant avec son débardeur et ses tatouages, l'autre guitariste est grand, blond, fort... peut être un peut rude et il ne parle pas la langue, mais il y a des langages universels qui même entre hommes... (ehrr, je m'égare là!). Le groupe est un fantasme féminin vivant. On retrouve tous les personnages d'un manga yaoi.
Leur rock dépressif chanté en français ne révolutionne pas le genre, même s'il faut lui reconnaitre une certaine originalité au milieu des autres groupes placés sur le même créneau. Ils font sonner le français comme de l'anglais, sur certains titres, je ne comprends que c'est de français qu'au bout de plusieurs minutes. Quelques titres sortent vraiment du lot et sonnent comme de gros tubes. Hiroshima par exemple, que le chanteur introduit en parlant de faire un peut de tourisme. Ou 10 000 Brasses, le titre qui passe a la radio, très efficace aussi.Parfois venu en famille, le public est attentif et chaleureux. Même si on n'est pas beaucoup, mais ça c'est une constante dans les concerts au Tamanoir.
